« Si vous vous projetez dans la tête de Frank [James Caan dans Le Solitaire] : comment il pense, comment il se sent dans son monde, quel est ce monde, alors la ville pour lui n'est pas ce lieu plat, avec des rues et partout des angles droits, comme une grille. Pour lui, dans sa projection mentale, il se déplace dans un espace qui est presque en trois dimensions. » (Michael Mann)