Yann Le Briz, la marin patriarche, n’est pas crédible : trop jeune, pas assez majestueux ni charismatique. En revanche, l’aspect misérable des deux bandits Guillaume et Sylvestre est bien décrit. Mais leurs noms anglais finissent par taper sur les nerfs, et la place qu’ils occupent dans l’aventure est trop importante.