La réforme de la garde à vue a été votée le 15 avril 2011. Avant cette loi, le modèle français concentrait une série de défauts, entraînant violences, brutalités, et abus. Les juristes expliquent que le placement en garde à vue était systématique, même dans des affaires sans gravité, sous un motif injustifié, c'est à dire en dehors des nécessités d'une enquête, sur la seule autorité d'un officier de police judiciaire et sans la présence d'un avocat.