Le jour où l'ETA annonce un cessez-le-feu, Bittori se rend au cimetière où est enterré son mari, qui a été assassiné par les terroristes parce qu'il tardait à s'acquitter de l'impôt révolutionnaire. Elle lui raconte qu'elle a décidé de retourner dans le village près de San Sebastián où ils ont vécu ensemble.