Lassé des échecs répétés de Minos et d’Hydargos, le grand Stratéguerre fait appel au général Barendos , un des chefs de la redoutable division Ruine. Ce dernier capture Alcor et le soumet à une séance d’hypnose dans l’espoir de lui extorquer quelques informations utiles au sujet de Goldorak. Parmi les maigres confidences livrées par son prisonnier, une seule a retenu l’intérêt de Barendos : celle relative à l’extraordinaire puissance des deux Mazinger. En attendant qu’Alcor, épuisé par l’interrogatoire, se réveille, Barendos envahit le mémorial où sont exposés les deux robots. Lorsque Goldorak arrive sur les lieux, il est aussitôt attaqué par Great Mazinger, dont Barendos a pris les commandes. Actarus se retrouve rapidement en très mauvaise posture, d’autant plus que son adversaire bénéficie de l’appui de deux golgoths. Pendant ce temps, dans le vaisseau-mère, Alcor revient à lui et, via un écran de contrôle, prend connaissance du drame qui est en train de se jouer. Déjouant la surveillance de ses gardiens, il parvient à prendre contact par radio avec Actarus et lui révèle que Great Mazinger a un point faible : si on le frappe à la base des ailes, cela paralyse ses circuits pendant quelques minutes. Le prince d’Euphor met immédiatement à profit cette providentielle information et reprend l’avantage. Immobilisé et sans défense, Barendos abandonne précipitamment Great Mazinger et regagne son vaisseau, au moment même où Alcor s’en évade après avoir saboté l’un des moteurs. Celui-ci grimpe dans le poste de pilotage laissé vide par Barendos et part combattre aux côtés de Goldorak. La puissance conjuguée des deux robots fait merveille : après les golgoths, c’est au tour du gigantesque vaisseau-mère de disparaître corps et biens dans un déluge de feu.