Enfin arrivé à Paris, Dostoïevski constate que son Apollinaria chérie est tombée entretemps amoureuse d’un autre. Mais l’élu en question n’en ayant cure, l’étudiante passionnée revient vers Fédor. De retour en Russie, il rencontre Tourgueniev dont il espère la collaboration pour une nouvelle revue. Après des débuts prometteurs, il s’avère que les deux écrivains ont des opinions trop divergentes sur nombre de points. La liaison avec Appollinaria étant de plus en plus houleuse, le couple finit par se séparer. Dostoïevski se remet à voyager et surtout à perdre beaucoup d’argent sur les tables de jeu. Contraint de regagner Saint-Pétersbourg, il trouve sa femme Marie Dmitrievna à l’agonie. Assailli de remords, confronté à l‘échec de sa nouvelle publication, commence alors pour lui l’une des périodes les plus noires de sa vie.